[Étude] Plateformes et services bancaires innovants : les pratiques et attentes des Français – Édition 2023

vignette_EtudeSopra2

INB2023_BAN_1400x422_ETUDE_SOPRAQuel est le niveau de multi-bancarisation ? Quelle est la place des banques en ligne comme banque principale ou secondaire ? Quelle importance les clients accordent-ils aux engagements environnementaux et sociaux des banques ?  Comment évolue la place du smartphone dans les pratiques bancaires ? Quelles sont les applications de paiement utilisées ? Services pour mieux gérer son budget, beyond-banking, paiement, assistance… Quelles améliorations, innovations les Français attendent-ils de la part des institutions financières ? Quel est l’intérêt des clients pour des services numériques portés par l’intelligence artificielle conversationnelle ?

Les réponses sont apportées dans cette nouvelle édition de l’étude « Plateformes et services bancaires innovants : les pratiques et attentes des Français ». Cette étude réalisée par IN Banque en partenariat avec Sopra Banking Software s’appuie sur les données d’une enquête en ligne menée en mai 2023 auprès de 1 003 Français représentatifs de la population connectée à Internet de plus de 18 ans.

Pour recevoir le rapport, vous pouvez vous faire la demande via ce formulaire.

RECEVOIR L’étude

Sommaire détaillé de l’étude

La multi-bancarisation, la banque principale
L’importance des engagements environnementaux et sociaux des banques pour leurs clients
    • Les engagements environnementaux et sociaux comme critère de choix d’une banque
    • Les actions en lien avec les engagements les plus importantes pour les clients
La place du smartphone et de l’application mobile dans les pratiques bancaires
    • Le téléchargement de l’application mobile de la banque principale : évolution taux d’équipement
    • La fréquence d’utilisation des services en ligne de la banque principale suivant les écrans
    • Les applications de paiement
Les améliorations et les nouveaux services les plus utiles pour les clients
  • Virements, opérations cartes bancaires, demandes de crédit : l’opinion sur les délais de traitement et de réponse
  • Délais de traitement, conseil automatisé, nouveaux services extra-financiers : l’utilité perçue
  • L’intérêt pour les nouveaux services numériques dans le paiement
Ouverture et plateformisation de l’offre de services (bancaires et extra-bancaires)
  • Les plateformes d’interaction entre clients, les communautés de clients
  • Crédit, facilités de paiement : usages et enrichissement de l’offre de services
    • Paiement en plusieurs fois, paiement différé : la fréquence d’utilisation dans le cadre d’un achat en ligne d’un montant élevé
    • L’intérêt pour une place de marché de prestations complémentaires à l’offre de crédit
  • L’intérêt pour l’accès à un bouquet de services tiers depuis l’espace de banque en ligne
Les clients bancaires face aux avancées technologiques
  • IA conversationnelle, métaverses, réalité augmentée : connaissance et utilisation de ces technologies
  • L’intérêt pour de nouveaux services bancaires portés par l’intelligence artificielle conversationnelle

 

Pour recevoir le rapport, vous pouvez vous faire la demande via ce formulaire.

RECEVOIR L’éTUDE

IN Banque fédère une communauté de décideurs autour des thématiques de l’innovation numérique dans les services financiers via :

  • Des études et analyses ;
  • Des événements (conférences, séminaires, ateliers…) ;
  • Des partages d’expérience, du networking.

IN Banque est une marque de la société Next Content, société d’études spécialisée dans l’analyse des comportements de consommation sur Internet, des nouvelles pratiques numériques et des stratégies digitales des entreprises.

 

S’inscrire pour recevoir l’étude

(* Champ obligatoire)









J'accepte en m'inscrivant pour recevoir l’étude que Next Content, éditeur de IN BANQUE, utilise mes données pour des communications personnalisées en lien avec mon activité professionnelle et partage mes coordonnées avec le partenaire de l’étude.

Vérifions que vous n'êtes pas un robot

Ludivine Baud (Qonto) : « La gestion des dépenses et le financement font partie de nos priorités »

Vignette_Ludivine_Baud
Benjamin Roy

Ludivine Baud
Directrice Générale France
Qonto

Face à un contexte économique incertain, la solution de gestion financière pour les TPE-PME s’adapte aux nouvelles pratiques des consommateurs, aux transformations sociétales et aux nouvelles aspirations des clients. Inflation, levée de fonds, concurrence… Ludivine Baud, Directrice Générale pour la France, revient sur les sujets qui rythment ce début d’année.

IN Banque : Comment définiriez-vous votre rôle chez Qonto ?
Ludivine Baud :
En tant que Directrice Générale pour la France, je pilote la stratégie commerciale sur le marché historique de Qonto. Avec la cinquantaine de collaborateurs dans mon équipe, nous nous attelons principalement aux partenariats, au marketing et aux activités commerciales. Je coordonne également les sujets produits, opérations et techniques avec les autres interlocuteurs dans l’entreprise.

Nos 350 000 clients sont répartis sur quatre marchés : la France, marché historique ; l’Allemagne, où nous avons franchement accéléré l’année dernière ; l’Italie ; et l’Espagne. Nous avons un bureau dans chacun de ces pays, ainsi qu’un cinquième à Belgrade.

Au total, notre millier de collaborateurs a accompagné plus de 100 000 créations d’entreprises.

Comment le contexte actuel influence-t-il les comportements des entreprises ?
Cela m’évoque deux mots-clés : résilience pour 2022, et prudence en 2023. 75 % des dirigeants de PME-TPE sont préoccupés par le contexte économique, et le niveau de défaillance a augmenté – même s’il reste inférieur à celui observé avant le Covid. En parallèle, un dirigeant sur deux se déclare toujours prêt à investir.

Après une année record en 2022 sur le front des créations d’entreprises, nous avons vécu un premier trimestre relativement dynamique. Mais face à ce contexte en demi-teinte, nous essayons d’anticiper pour mieux servir nos clients et les accompagner dans la compréhension de ce contexte. Il faut noter que nous observons un certain dynamisme sur le marché et que d’un point de vue croissance, Qonto fait un beau début d’année.

En conséquence, quels nouveaux besoins émergent, et comment y répondre ?
Deux sujets nous préoccupent depuis fin 2022, et rythment aussi début d’année en tant que priorités : le financement et la gestion des dépenses. Pour faire face à ce premier point, nous avons lancé, en janvier, une plateforme de financement pour donner accès à différentes opportunités et types de financement, tout en conservant une expérience intégrée dans le produit Qonto – même si nous travaillons avec quatre partenaires pour cela. Il s’agit de Defacto, Silver, Karmen et October – ce dernier étant notre partenaire historique.

L’expérience est ainsi fluidifiée, simple et rapide avec des montants qui vont de quelques centaines à plusieurs millions d’euros ; et différentes typologies d’emprunt, de taux d’intérêts et de durées de remboursement. Notre objectif est de proposer une gamme complète avec beaucoup de flexibilité mais dans un espace sécurisé. Jusqu’à présent, cette plateforme est un succès, et les trois quarts de nos clients y sont éligibles.

Enfin, la gestion des dépenses est un sujet sur lequel nous travaillons déjà. Nous avons investi il y a quelques mois et avons complété nos fonctionnalités avec une solution de gestion de notes de frais. Car dans cet environnement économique incertain, le contrôle de la dépense fait partie des préoccupations importantes de nos clients.

Quel est votre point de vue sur le développement de la concurrence et des initiatives numériques sur le marché des pros/entreprises ?
Avec 3,1 millions de TPE-PME en France, et 25 millions en Europe, le marché est vaste ! 350 000 clients ont déjà fait confiance à Qonto, et notre ambition est d’atteindre le million en 2025.

La concurrence est saine – nous sommes sur une catégorie encore jeune et au sein de laquelle nous essayons de créer notre propre catégorie. Nous sommes les seuls à pouvoir proposer à la fois un compte professionnel et différents outils de gestions de finances professionnelles.  C’est une immense opportunité, ainsi qu’une très grande responsabilité.

Vous avez levé 486 millions d’euros il y a un an et demi : quelle est la feuille de route qui l’accompagne ?
Nous avons eu la chance de faire cette belle levée de fonds au bon moment. Nous avons différents enjeux : le premier est commercial avec l’objectif d’atteindre un million de clients en Europe en 2025. Nous avons aussi un enjeu de croissance et d’investissement dans nos équipes, ainsi que l’envie d’améliorer nos produits en restant au plus près de nos clients, sans toutefois perdre la connaissance et la proximité nécessaires.

Nous avons également un enjeu plus visible et encore plus ambitieux avec un objectif d’expansion à l’international car nous avons prévu d’investir 100 millions d’euros sur nos marchés internationaux d’ici 2025.

Enfin, nous avons fait l’acquisition l’année dernière du champion de la fintech allemande Penta. L’intégration de cette solution, qui nous a bien occupé l’année dernière, est en très bonne voie. Ce vaste chantier a justement été rendu possible grâce à cette levée de fonds.

Alexis Ammar (Mangopay) : « Notre approche 100% marque blanche et dédiée marketplace vise la personnalisation maximale »

Alexis_Ammar
Alexis Ammar

Alexis Ammar
Head of sales France, Luxembourg, Belgique
Mangopay

Spécialiste du paiement sur les marketplaces, avec des clients comme Vinted, Rakuten, Leboncoin, La Redoute, Showroomprivé ou encore Malt et Paris Fashion Shops, Mangopay a traité 11 milliards d’euros en 2022. Alexis Ammar, directeur des ventes France/Belgique/Luxembourg, détaille les mécanismes de paiement B2B qui aujourd’hui font la différence.

Un entretien réalisé dans le cadre de l’événement Les Enjeux Innovation B2B 2023 du 2 février 2023 organisé par Next Content (éditeur du site IN BANQUE) et accessible désormais en replay pendant 1 mois.

Les Enjeux Innovation B2B : Quelles sont les grandes tendances qui se dégagent dans votre établissement, et plus globalement dans le secteur ?
Alexis Ammar :
Il y a plusieurs aspects que je voudrais citer. D’abord l’infrastructure de e-wallets que nous proposons, avec la possibilité de générer pour chacun d’entre eux son IBAN unique (ibanisation) et pas mal d’avantages à tous les points de vue. Pour l’acheteur c’est un compte de cantonnement sans contrainte de temps ni de montant, avec des fonds garantis à 100%. Du point de vue de la marketplace, cela facilite la réconciliation, permet d’automatiser un maximum de process et ainsi de gagner beaucoup de temps.

Je citerai aussi évidemment le Buy Now Pay Later : nous avons fait une cartographie de l’ensemble des prestataires de financement pour offrir une flexibilité très forte aux plates-formes. De manière générale, notre approche 100% marque blanche basée sur des API vise la personnalisation maximale, aussi bien dans les choix de moyens de paiement que dans les cinématiques de paiement globales. Nous automatisons une large variété de processus ce qui offre cette souplesse.

Enfin je pourrais citer le « one-creditor » qui consiste à produire une seule et unique facture pour un acheteur qui a commandé auprès de différents vendeurs. Et bien sur l’instant payment qui, sur une plate-forme B2B comme par exemple Malt (NDLR : voir le livre blanc consacré à cette étude de cas) sécurise énormément la cible freelance visée.

LIRE LA SUITE SUR LE SITE
DES ENJEUX INNOVATION B2B

Mangopay est intervenu le 2 février dans le cadre de l’événement Les Enjeux Innovation B2B 2023. Programme et inscription pour visionner le replay sur : www.innovation-b2b.com

Mickaël De Sa (Allianz Trade) : « La complémentarité banque – assurance favorisera le développement du BNPL B2B »

MICKAEL_DE_SA_300x140
Mickael De Sa

Mickaël De Sa
CDO
Allianz Trade en France

Le e-commerce n’en finit plus de se développer dans l’écosystème B2B, représentant aujourd’hui bien plus qu’un simple canal additionnel de vente. En ce sens, les modalités de paiement du commerce B2B en ligne, souvent lourdes et désuètes, commencent à se moderniser grâce au développement du Buy Now Pay Later (BNPL). Mickael De Sa, Chief Digital Officer d’Allianz Trade en France nous explique comment fonctionne cette technologie et le rôle respectif des banques et assureurs dans son essor.

IN Banque : Comment expliquez-vous l’émergence des solutions de BNPL B2B actuellement ?
Mickaël De Sa :
Dans le e-commerce B2B, les modalités de paiement sont en retard en comparaison de ce qui est pratiqué en B2C. On retrouve souvent des paiements par carte bancaire professionnelle, ou des frais avancés par des collaborateurs de l’entreprise concernée. Cela implique donc un recours très limité au paiement fractionné ou différé : les vendeurs n’accordent pas de délais de paiements à leurs acheteurs, principalement car ils ont du mal à obtenir de l’information sur leur solidité financière. Et quand bien même, s’ils avaient accès à ces données, il leur serait difficile de donner une décision de crédit rapide, sans affecter leur parcours utilisateur, et donc leurs performances commerciales. Les acteurs de l’écosystème se sont rendus compte qu’il s’agissait d’un vrai frein au développement du e-commerce B2B, et on assiste ainsi aujourd’hui à l’apparition de nombreux nouveaux acteurs qui développent des solutions de BNPL B2B. Mais pour y parvenir, ces fintechs ont souvent besoin du soutien d’acteurs plus traditionnels et experts des échanges B2B, à savoir les banques et les assureurs.

Justement, quel est le rôle des banques et des assureurs dans le modèle du BNPL B2B ?
Quand on accorde un délai de paiement, que ce soit en ligne ou hors ligne, on s’expose au risque d’impayés. Pour démocratiser cette pratique, il faut donc apporter au vendeur la garantie qu’il sera bien payé. Cela se manifeste au travers de deux mécanismes complémentaires : le financement et l’assurance-crédit. Dans le BNPL B2B, même si cela n’est pas systématique, le rôle de la banque est de financer la facture : elle permet au vendeur d’être payé instantanément, malgré le délai de paiement accordé. Ainsi, le risque d’impayés est transféré du vendeur à la banque. La banque doit alors se protéger de ce potentiel non-paiement. C’est là que l’assureur-crédit intervient : il se charge d’abord d’évaluer, instantanément et sans affecter le parcours client, la solidité financière de l’acheteur afin de déterminer sa capacité à garantir un délai de paiement, puis se chargera de recouvrer la créance si celle-ci s’avère impayée, et d’indemniser la banque si le recouvrement n’aboutit pas. La banque finance le cycle d’exploitation, et l’assureur sécurise la chaîne de valeur : une véritable logique de complémentarité qui fait du BNPL B2B un excellent moyen, pour une entreprise, de développer ses ventes sans s’exposer au risque d’impayés.

Pourquoi est-ce intéressant pour un acteur bancaire de s’associer avec un assureur sur ces problématiques ?
Je vois trois principales raisons à l’association d’une banque et d’un assureur-crédit sur ce type de produit. Tout d’abord, notre expertise dans le scoring des entreprises à travers le monde. Le succès du BNPL réside dans sa simplicité d’utilisation aussi bien pour le e-commerçant que pour l’acheteur. En quelques secondes, celui-ci se voit accorder un délai de paiement et peut finaliser sa commande. Pour qu’une telle fluidité puisse se mette en place, il était important d’être en capacité de délivrer des décisions de crédit instantanément. Le scoring d’entreprise étant une des forces historiques d’Allianz Trade, nous avons fait le choix il y a quelque temps de rendre disponible par API notre système de scoring et donc notre assurance-crédit afin de proposer un parcours client sans interruption protégeant à la fois le vendeur et le financeur. Deuxièmement, la sécurisation des fonds avancés. Les acteurs du BNPL sont généralement des fintechs spécialisées dans la gestion des flux de paiement. Ces acteurs en adressant le BtoB sont confrontés à des volumes de transactions importants. Les banques doivent donc financer ce volume tout en maîtrisant les risques de non-paiement. Un assureur-crédit, comme Allianz Trade, viendra garantir le risque d’impayés et ainsi rassurer le financeur dans ses opérations. Pour finir, l’expertise et la solidité d’un assureur-crédit dans le recouvrement et l’indemnisation de créances commerciales. Dans un contexte de normalisation des défaillances, le risque d’impayés s’accroît. Nous sommes un acteur centenaire, qui dispose d’une capacité d’intelligence prédictive inégalée, d’un réseau de recouvrement international et d’une solidité financière reconnue.

Quelle complémentarité entre banques, assureurs et acteurs du paiement ?
L’offre de valeur du BNPL est fortement appréciée par les e-commerçants, puisqu’elle regroupe plusieurs acteurs ne travaillant pas ensemble au départ et créant ainsi une chaîne de valeur complète. L’acteur du paiement joue souvent le rôle du chef d’orchestre dans les schémas BNPL B2B. Le produit reposant sur la base de multiples connexions API, la simplification d’intégration des API et la maîtrise de l’interconnectivité de ces dernières sont des facteurs clés de succès d’un produit BNPL. L’acteur du paiement sait gérer cette connectivité et se place au moment du checkout dans le parcours d’utilisation d’un acheteur. L’assureur utilise, quant à lui, son scoring pour accorder ou non un délai de paiement à l’acheteur, une fois ce délai accordé la banque va, elle, avancer les fonds au marchand. En quelques secondes, une décision de crédit est prise, un paiement est réalisé, un financement est effectué, c’est cette complémentarité qui fait la force des solutions BNPL BtoB.

Avez-vous des exemples à nous partager ?
Je pense à un partenariat récemment déployé. Allianz Trade, Two, et Santander CIB se sont associés pour créer la première solution internationale de BNPL B2B à destination des grandes entreprises multinationales. Chaque membre de ce partenariat contribue à la solution avec sa propre expertise : Two est en charge de la technologie de paiement, Santander CIB finance le paiement anticipé aux vendeurs et les conditions de crédits aux acheteurs, et Allianz Trade sécurise l’ensemble de la chaîne de valeur contre le risque d’impayés. Une combinaison parfaite entre paiement, financement et assurance. En résulte une solution qui change la donne pour le e-commerce B2B à l’échelle mondiale. Les grandes entreprises disposent désormais d’une solution tout intégrée pour proposer instantanément à leurs acheteurs des paiements différés à la commande.

Entretien avec Jean-Pierre Viboud, Directeur général de Oney

Jean-Pierre_Viboud_Vignette_3


Copyright 2022 IN BANQUE / Next Content

Jean-Pierre Viboud nous présente Oney et ses ambitions sur le marché du BNPL (Buy Now Pay Later) en forte croissance et très convoité, notamment par de nouveaux acteurs issus de la Tech.

Enregistré lors de l’événement IN BANQUE 2022 le 23 juin à Paris.

Crédit, paiement : L’innovation au service de l’expérience client et de la performance du distributeur

FLOA_Vignette_2


Copyright 2022 IN BANQUE / Next Content

Le développement continu des ventes en ligne et la digitalisation du commerce renforcent les attentes des consommateurs en termes d’expérience d’achat. Comment les solutions de paiement et de crédit sont-elles devenues une composante stratégique pour les commerçants, touchant tous les secteurs ? Comment s’imposer sur ce marché qui devient hautement concurrentiel ?

Entretien avec Catherine Vidal, Directrice Générale de FLOA.

Enregistré lors d’IN BANQUE 2022 le 23 juin à Paris.